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La "Souppes" aux livres
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19 août 2013

LE CONFIDENT d'Hélène GREMILLON

C'est le premier roman d'Hélène Grémillon...

 

confident

4ème de couverture: Camille vient de perdre sa mère. Parmi les lettres de condoléances, elle découvre un étrange courrier, non signé. Elle croit d’abord à une erreur mais les lettres continuent d’arriver, tissant le roman de deux amours impossibles, de quatre destins brisés. Peu à peu, Camille comprend qu’elle n’est pas étrangère au terrible secret que cette correspondance renferme.
Dans ce premier roman sur fond de Seconde Guerre mondiale, Hélène Grémillon mêle de main de maître récit historique et suspens psychologique.

Le confident a obtenu cinq prix littéraires et été traduit en dix-huit langues. 

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J'ai commencé ce roman un peu mitigée, me disant "c'est du déjà vu! rien de bien original...etc"! C'est vrai, les thèmes du secret de famille, de la quête identitaire,  du mal d'enfant...etc. sont souvent traités dans la littérature.

Mais plus j'avançais dans ma lecture, plus je me laissais prendre au piège. J'avais l'impression d'ouvrir des tiroirs, puis d'autres  et finalement on lit ce livre comme un bon thriller psychologique, un bon mélodrame!

Toutefois rien de très original, ni dans l'écriture ni dans la construction! les romans à plusieurs voix, plusieurs points de vue sont souvent passionnants et donnent de l'épaisseur à l'intrigue, je trouve. Mais celui-ci ne me laissera pas de souvenir durable, impérissable!

Vous penserez peut-être que j'ai la dent dure mais je l'assume! et tant pis pour les centaines de critiques dithyrambiques parues à son sujet!!!

CONCLUSION: Bon moment de lecture pour moi, mais pas un coup de coeur!c'est un livre que je recommanderai à mes lecteurs en quête de romans à l'intrigue foisonnante et aux personnages complexes et attachants.

 

(Folio - mars 2012 - 320 p.)

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Commentaires
J
J'ai eu la même expérience avec "Garde tes larmes pour plus tard" d'Alix de Saint-André sur la vie de Françoise Giroud. au début je me suis dit, c'est du parisianisme snobinard et peu à peu je l'ai sentie se prendre au jeu de l'enquête sur la femme hors du commun que fut France Gourdji, anagramme du nom choisi, le nazisme étant passé par là et retrouvant ses racines par son petit-fils Nicolas Hossein devenu le rabbin Eliacheff.
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