RETARD...

Qu'est-ce que j'ai comme retard!

Je n'arrive pas à suivre...

Mais où passent les 24 heures de chaque journée? Enfin, les 16 heures plutôt!

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Je viens de lire: BIFTECK de Martin PROVOST

Qu'est-ce qui m'a poussée à lire ce livre? J'avais envie d'une petite récréation; J'ai été attirée par la quatrième de couverture, par l'illustration de couverture du livre de poche, façon "papier de boucher"...... Quelle nigaude!

Bref, c'est raté! Je n'ai pas accroché, du tout! Je n'ai pas réussi à entrer dans le délire de l'auteur.

Résumé de l'éditeur: Chez Plomeur, à Quimper, on est boucher de père en fils. Alors que la Grande Guerre fait rage, le jeune André se découvre un don pour faire « chanter la chair » - et pas n'importe laquelle : celle des femmes, dont la file s'allonge devant la boucherie... Leurs hommes partis au front, celles-ci comptent sur lui pour goûter au plaisir suprême. Hélas, le conflit s’achève et les maris reviennent. Un matin, le boucher trouve sur le pas de sa porte un bébé gazouillant dans un panier en osier, puis un deuxième, un troisième : du jour au lendemain, le voilà père de sept enfants, et poursuivi par un époux vindicatif… Il y a du Gargantua et du Robinson Crusoë dans ce Bifteck exquis, à consommer sans modération !

Un bifteck que je n'ai pas mangé avec plaisir!

J'ai un peu souri au début. Puis j'ai décroché...

Je n'insiste pas! Je comprends que l'on puisse aimer ce genre de fable (pas très consistante quand-même!)

Ce n'est vraiment pas mon genre de lecture! Un roman qui ne répond pas à mon "cahier des charges"!

Voilà, c'est dit!

Et vous, vous l'avez lu? Vous l'avez aimé?

(Le livre de poche - janvier 2012 - 122 p.)

A très bientôt!  Pour  vous parler de "Home" de Toni Morrison. Dès que je trouve 5 minutes pour rédiger un billet à sa hauteur...

Comments

[etetmo]

Dommage, la couverture pouvait donner faim !

Moune

[mojo]

je partage tout à fait ces commentaires.J'ai trouvé le sujet original et ai aimé le début quoique exagéré (toutes ces femmes pour un homme peu attirant) et après, je n'ai plus été convaincue, cela sonnait faux à mes "oreilles ".

Joelle Morras